vendredi 31 mai 2013

Oh la vilaine!

Bonjour à toi mon canard en sucre.

Aujourd'hui je vais te parler de la nature pestouille de la gente féminine. Je sais, c'est un vaste sujet et un article ne suffirait pas à faire le tour de la question, mais tout de même, je vais tenter de réflexionner (je sais ce mot n'existe pas, mais à sujet exceptionnel, mot inventé, c'est un proverbe très célèbre!).

Voilà, mon chou à la crème, je te dis la vérité, la méchanceté humaine n'est pas un mythe, et dans beaucoup de femmes se cachent la méchante fille populaire des séries américaines. Mais je pense que tu t'en doutais!


J'ai des copines formidables, mais j'ai aussi eu l'honneur et le privilège (non j'déconne!) de croiser la pire vilénie féminine. Tu sais le genre de filles qui se disent ton amie et qui en fait est en mode  "je te plante un couteau rouillé dans le dos et à multiples reprises" activé.
Alors, on la trouve un peu partout.
Par exemple, tapie dans un groupe de copines, prête à saisir la moindre occasion pour vous faire un méga-coup-de-pute catégorie intersidérale qui vous achèvera, parce qu'on trouve que vous dite trop ce que vous pensez. Évidemment, tout le monde tombe dans le panneau, même vous, et vous devenez la pestiférée dite hypocrite du groupe. Mais vous ne réalisez que bien bien plus tard d'où venait, en fait, la déflagration. Pas forcément de là où on pensait. Mon conseil: ne faites jamais confiance ni n'accordez jamais votre sympathie à une fille frustrée, jalouse, et mal dans sa peau.
Autre cas, la super copine qui vous kiffe trop, et en fait surtout vos potes. Elle vous kiffe tellement qu'à la première occasion elle se réjouie de vous enchainer des high-kicks de la mort de la trahison, pour dès que vous avez le dos tourné, vous évincer de votre propre groupe de potes. Bon, ce coup-ci ça n'a pas fonctionné parce que mes amis sont géniaux, qu'ils me sont fidèles, et je crois qu'ils m'aiment un peu aussi (moi en tout cas je vous kiffe grave mes poulets d'amour!).

Et puis, au delà de votre cercle de relations choisies, qui est le cas le plus douloureux tout de même en cas de vacheries inter-féminines, il y a l'autre cercle, celui du boulot.
Oh, je te vois derrière ton écran, toi aussi tu penses à Geneviève, la méchante qui répand à la moindre occasion des vilaines rumeurs sur à peu près tout le monde. C'est aussi elle qui harcèle Martine parce qu'il y a à peu près 10 ans, il y a eu un conflit à cause d'une agrafeuse! Ou juste parce qu'en fait elle aime pas sa gueule.
En ce moment au travail, l'ambiance est quelque peu morose. Le manque de chaleur estivale peut-être? En tout cas, ça fuse de tous les côtés, les coups de putes s'enchainent et les langues de vipères ne cessent de siffler. Pour une fois, je passe entre les balles, personne ne semble vouloir me prendre pour cible et c'est tant mieux.
Mais d'un regard extérieur et d'un point de vue sociologique, voire ethnologique tant la femelle répond à des codes quasi tribaux en cas de plans d'attaque de pourrissage de vie d'une de ses consœurs, la méchanceté féminine m’effraie.
C'est un peu comme lorsque j'ai vécu ça dans ma vie personnelle. On ne voit rien arriver. Lorsque ça commence, on fait l'erreur de se défendre à corps et à cris, et là, il est déjà trop tard, la bombe H vous arrive en pleine face. Car en fait, ce qu'on vous balance dans la gueule n'est que la partie émergé de l'iceberg. Il y a en fait un travail de fond qui se fait depuis bien longtemps, dans la pénombre, sans que vous vous en doutiez.
C'est parfois à la limite du harcèlement morale. C'est à la première qui arrivera à faire pleurer l'autre. De vraies stratégies militaires sont mises en œuvre. Les sentiments, la compassion et les frêles souvenirs d'une entente passée sont balayés.

Alors, je me réjouie de ne pas être sous les bombes en ce moment. Je soutiens comme je peux celles qui le sont. Et surtout je me rappelle les injustices et les rancœurs de femmes dont j'ai été victime tout au long de ma vie.

Certaines passent leur temps à dire que les hommes sont des salauds, des briseurs de cœur, qu'il faut se serrer le coudes entre nanas... encore faudrait-il savoir balayer devant sa porte et arrêter d'être une peste avec les autres filles.

Surtout mesdames, réfléchissez bien à ce que vous infligez à d'autre car un jour, il se pourrait bien que ça vous arrive à vous aussi. Lorsque l'on n'est pas fidèle, il n'y a pas de raison que les autres le soient avec vous.






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